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Par Akia le 9 Mai 2014 à 13:54
Amour discret,
Aux soupirs cueillant les roses
Notes fleuries sur le piano
Musique de charme et de proses
Gamme muette entre le mot
Une fleur
D'envoi
Et douceur
De joie
Cueillette d'espoirs et tendresses
Quand s'endorment les jours vieillis
Sur nos corps, jardins de caresses
Réveil de nos gestes endormis
Des éclats
Sans voix
Des ébats
D'émoi
Les rires comme les diamants
Suivent de résonnants éclats
La nuit folle de longs serments
Laisse à nos amours les ébats
Et l'amour
Se boit
Là, toujours
Toi ... moi ...
@copyright Claudine
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Par Akia le 9 Mai 2014 à 08:11
On s'aimera
On s'était connus en hiver
Quand la nature est endormie
Tes sens ne l'étaient guère
Cela dit entre nous ma chère
Amie que je vénère
On s'est aimés au printemps
Quand les filles sont jolies
Mais moins que toi Véro
Car toi tu es la plus belle
Plus belle qu'une walkyrie
On s'est aimés en été
Au milieu d'un champ de blé
Un beau jour ensoleillé
Au retour des beaux jours
Quand tout est couleur d'amour
On s'aimera en automne
Quand les feuilles tourbillonnent
Quand le temps s'étire
Quand on ne va plus au bois
Parce qu'il fait trop froid
On s'aimera toute la vie
On s'aimera partout
D'ailleurs tu me l'as dit
On s'aimera tout le temps
Que nous laissera le temps
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Par Akia le 9 Mai 2014 à 08:08
MA DOUCE...
Par des mots susurrés avec hésitation,
Elle me disait qu'elle m'aimait.
Par un corps emplit de palpitation,
Ses lèvres et sa bouche disaient qu'elle m'aimait.
Deux êtres tremblant comme des feuilles aux vents,
Elle me disait qu'elle m'aimait.
Pétrifié devant elle, ne pouvant desserrer les dents,
Elle me murmurait qu'elle m'aimait.
Cette musique si douce,
Mêlée à des larmes salées,
Elle me donnait un coup de pouce,
Et me disait qu'elle m'aimait.
Ma belle, ma douce, mon doux amour,
Si tu savais ô combien je t'aimais.
Se réveiller un beau jour,
En écoutant qu'elle m'aimait.
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Par Akia le 8 Mai 2014 à 09:55
APOGÉE EXTATIQUE
Je suivrai votre ombre qui s'efface
Sur le plus doux destin de vos pas
Le coeur plein d'amour sur vos traces
Réduirai l'espace entre vous et mes bras.
Je marcherai derrière votre innocence
Comme unique seul héros de vos rêves
Etre le vertige de vos instants de silence
Quand fuit le songe que l'illusion s'achève.
Au clair de vos yeux, je boirai vos regards
Dans la douceur baiserai vos lèvres chéries
Que naisse avant qu'il ne soit trop tard
L'émotion sur la beauté de vos plis.
Je reposerai mon âme au lit de vos désirs
La main en folie remplie de caresses
Frappera d'émoi tous vos cris de plaisirs
Et nos doigts s'enlaceront de tendresse.
J'aimerai jusqu'à la pointe de votre sein
La sève acre sur ma bouche régalée
Vous m'offrirez votre suprême festin
Quand votre extase sera à son apogée.
Plus chaude serrée votre vie contre moi
Je sentirai en éclat soupirer votre chaleur
Vos pensées secrètes et votre délicate joie
S'enrouleront ainsi autour de mon coeur.
M PIERRON
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Par Akia le 8 Mai 2014 à 09:47
Dans le silence, le vide ira se nourrir
De son adieu sur un quai de départ
L'ineffable tristesse avant de partir
Usera de larmes les tendres regards.
Il s'en va même s'il ne l'a pas voulu
Le coeur serré sous ses paupières closes
Sa dulcinée blottie entre ses bras nus
Au baiser doux sur la lèvre qu'il dépose.
Il part comme un héros laissant derrière lui
L’écho poignant sous le bruit de son pas
Esseulée dans l'angoisse, la femme attendrie
Bannie l'insupportable odeur du trépas.
Sur un cri s'exclame infinie la détresse
Il se bat en soldat pour repousser la mort
Mais sans jamais oublier la tendresse
Qui l'attend là bas et qui l'aime très fort.
Glorieux devoir jusque dans la bataille
C'est un soir que l'horrible douleur
A déchiré son coeur brûlé ses entrailles
Éteignant son corps sur un champ d'honneur.
M PIERRON
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Par Akia le 8 Mai 2014 à 07:57
Hier en Puisaye,
Sous le ciel de ma Puisaye
un petit chemin joyeux
aime ma marche légère
rendez-vous des herbes gaies
en mon âme rêves heureux
dans les vallons sans misères
Et là, je tombe à genoux
sur l'impériale beauté
devant ces coteaux sans âge
mélancolique dessous
d'un lieu de sérénité
ombrelle sur mon village
Fraîcheur des odeurs boisées
où mon âme rêve et danse
respirant la vallée haute
rêves aux légendes laissées
endormies dans l'insouciance
de ces monts en haut de côte
Souvenirs, vieilles chansons
restées au coeur des "anciens"
sourire à d'autres patois
sur les lèvres sans façon
se fredonne encore demain
paroles au coeur en émoi
@copyright Claudine,
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Par Akia le 7 Mai 2014 à 16:29
Le goût de ta peau douce et sucrée,
La chaleur de tes mains contre mes reins
Je reviens déposer sur le bout de tes seins
Une bouche affamée
Leur pointe qui durcit
Quand je les emprisonne
Entre mes lèvres friponnes;
Mais entre l'un et l'autre me voici indécis...
Tes mains le long du dos
Qui glissent sur mes fesses
Voici que je frissonne sous ces caresses
Qui jouent leurs trémolos
De musique divine
Mes mains ont le désir
De chercher sur ton corps
Ces lieux où ton plaisir
Se fait un peu plus fort
Un détour par la taille pour aborder la hanche
Pendant que de la langue je descends sur ton ventre...
Tes mains en haut des cuisses... Un doux supplice
Qui ne s'arrête pas, quand mes tétons tu vises
Je veux m'abandonner à tes mains enivrantes
Mais ne peux m'empêcher de vouloir te goûter
Je glisse doucement juste sous le nombril
Et vibre en même temps sous tes paumes frémissantes
Faire durer les caresses pour que gonfle le désir
Dans nos deux corps en feu
Approche tes lèvres des miennes
Pendant que de mes doigts je joue contre tes fesses
Et tes cuisses et ton dos
Que mon ventre si chaud vient attiser le tien
Peau contre peau avec tendresse
© Djoe L'Indien
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