-
Par Akia le 13 Mai 2014 à 13:47
Millésime...
l est l'aube. Mes yeux s'ouvrent à la saveur,
D'un horizon nouveau en odeurs méconnues,
Craintes d'apercevoir mes vignes encor' nues,
Ouvrant trop tôt mes volets. A la bonne heure!
L'aube interpelle mon ciel d'un joli rose,
Couleur amadouant tous les rouges pâles?
Que viens-tu me dire? Ton silence exhale,
L'énigme du Sphinx dans la métamorphose....
Livres-tu en moi la couleur Espérance?
Jouissance! Net et fluide secret,
Porteuse d'un mystère et de futurs regrets,
L'obscur frémissement des luminescences.
J'ai entrevu, j'ai bien vu en toi le signe,
Que l'on ne peux voir qu'à ton heure première,
Le geste d'un silence éclairant la clairière,
Où se pointe le jour, réchauffant mes vignes.
Quand le soleil consent à devenir terrestre,
Et à n'éclairer que la vigne des hommes,
Sur mes coteaux qui sont aussi son royaume,
Fait-il de moi son vigneron chef d'orchestre?
Et je m'émerveille, étonné à jamais,
De découvrir toujours sa promesse renouvelée...
Timilo
votre commentaire
-
Par Akia le 13 Mai 2014 à 13:40
L'hiver frappe à ma porte.....
Mon âge m'ennuie... Mes jours bleus vont-ils renaître?
Je regagne pour cela, voyant ma longue erreur,
Le pays où jadis, je crus au bonheur d'être,
Et je m'assieds heureux près des rosiers en fleurs.
Ici l'horizon tremble dans la lumière,
Mes yeux qu'ont fatigués tant d'aspects étrangers,
Regardent maintenant les images familières,
Le temps qui change tout, ne les a pas changées.
Quel mystère commence-là, dans la garrigue,
Quand mes souvenirs marchent sur les romarins,
Une odeur visible de thym et figues,
Le subtil mélange d'un rêve enfantin?
Car ma terre m'enferme dans l'envers du monde,
Sur la marelle, mon ciel s'est-il inversé?
Libre de pensée, la plume se veut féconde,
Mes yeux l'ignorent encore mais cherchent la clarté.
Chaque jour travaille pour le grand passage,
Personne n'est oublié, chacun est appelé,
Je serai seul, oui seul pour ce voyage,
Qui peut se vanter d'échapper à sa destinée?
Tant que je garde en main les clés de mes rêves,
Les rimes viendront titiller ma poésie,
Si trop de mélancolie colore ma sève;
Je me sentirai bien seul dans son grand logis......
Timilo
votre commentaire
-
Par Akia le 13 Mai 2014 à 11:40
TU DÉSESPÈRE
IL ne faut pas être triste
Il te faut croire en la vie
Il te faut croire à des jours meilleurs
Il te faut retrouver ton chemin
Qui te semble si lointain
Sache que tu n'es pas seule
Un main tendue, je t'offre
Serre-là fort tu n'es plus seule
@copyright Théma
votre commentaire
-
-
Par Akia le 12 Mai 2014 à 08:46
Maman
Maman à mes yeux tu mérites tant d'Amour et tendresse
que parfois je me retrouve incapable d'exprimer les mots
Dire ou faire ne sera jamais comparable à ta bonté
et à tout ce que tu as fait et fait encore pour moi
Je ne suis pas un grand poète, j’ai juste envie d'écrire
ce qui est dans mon cœur, le respect, l'estime et l'affection
C'est pourquoi je veux t'écrire ces quelques paroles
Car je sais que pour toi, mon bonheur est le plus important
Chaque jour passé à tes côtés, dans la joie et la tristesse
ont été pour moi des jours heureux, de bonté et gentillesse
Tu n'as cessé de me chérir, de me protéger, des petits soucis
Tu m'as offert un amour que j'ai toujours estimé
Une tendre mère pour me consoler à qui je me confiais
Avec qui je retrouvais sans fin, le réconfort de sa beauté
Les bons moments importants de ma vie, qu'on a partagée,
Toi seule connaît les secrets de mon cœur tourmenté
Comment j'arriverai à combler tout ce que tu m'as apporté
Oh! maman comment pourrais-je ne pas t’aimer, si douce,
bienfaisante, généreuse, toujours indulgente envers moi
Certes tu m'as enseigné qu'il faut aider et donner
Ce qui valorise ton cœur, si bon et charitable dans la foi
Aujourd’hui à la fête des mamans, tu es si près de moi
Dans mon cœur, dans mes pensées à jamais tu resteras.
C'est ce bonheur et cette joie que j'ai envie de partager
avec toi, pour aujourd'hui et des années durant.
Je t’aime maman, bonne fête à toi…
Bonne fête à toutes les mamans
MF
votre commentaire
-
Par Akia le 12 Mai 2014 à 08:08
Pensée d'amour
De mes lèvres s'est échappé
Un petit baiser enflammé,
Sur votre bouche, s'est posé
Et, pour un instant partagé,
Tous les Cieux se sont allumés
Et nos coeurs se sont éclairés,
Et les temps se sont réchauffés
Dans l'amour de nos corps aimés ...
Quand nos sourires endimanchés,
Sur nos esprits énamourés,
En nos coeurs aimants et grisés
D'amour, se sont abandonnés,
Toi et moi, blottis et cachés
Aux regards des Dieux oubliés
Sur mille remords ennuyés,
Nos parfums se sont enivrés ...
Dans toutes les forêts rouillées
De ces caresses recherchées,
De ces tendresses enchantées,
Nos âmes se sont élevées,
A nos lèvres a carillonné
Le désir d'un amour envié,
D'un petit mot déshabillé
Sonne au matin émerveillé ...
@copyright Claudine,
votre commentaire
-
Par Akia le 11 Mai 2014 à 19:02
Défi
J'étais amoureux de la veuve en noir.
Chaque jour elle se faisait plus pressante,
M'assaillait de déclarations séduisantes,
Ses attraits, ne cessaient de m'émouvoir.
Elle me promettait un monde merveilleux,
Sans haine, sans peine, sans une larme,
Où l'on n’a plus besoin de sortir les armes,
Dans ces bras d'être infiniment heureux.
Elle m'aguichait, m'ouvrait son lit de satin.
Me proposait des épousailles solennelles,
M'assurait que j'y trouverais le repos éternel,
De connaître, avec elle, un nouveau destin.
Je ne l'avais pourtant pas encore embrassée,
Ni même effleurée de délicates caresses,
Qu'elle s'offrait à moi comme une déesse,
M'exigeait de bien vouloir, au plus tôt, l'épouser.
Mais c'est qu'à la vie, j'étais encore marié.
Même si elle se faisait, pour moi, cruelle,
Que l'envie parfois me prenait d'être infidèle,
Je résistais à mon obsession de la tromper.
Résister ! Je devais résister à cette ogresse !
Voir la vie sous de plus beaux présages,
Croire à l'amour, savoir en tirer avantages,
Et détromper cette impertinente maîtresse.
Mon Ami, mon Amour, mon tendre Amour !
C'est alors que tu me détournas de cette femelle,
Tu construisis autour de moi ta citadelle,
Me pris sous ton aile pour me défendre de ce vautour.
Aujourd'hui je te dois ce beau discours,
Tu m'as soustrait à mes trop sombres envies,
Mis au défi d'aimer, d'adorer avec toi, la vie
De m'en régaler pour qu'avec toi je la savoure.
Mon Ami, mon Amour, mon tendre Amour !
Pour toi, je relève ce défi !
C. Bailly
votre commentaire
-
-
Par Akia le 10 Mai 2014 à 09:54
DITES MOI POURQUOI MESSIEURS -CHRYS
Avoir une belle femme à son bras
C'est le rêve de tous les hommes
Et pourtant messieurs, Apollon
L'êtes-vous, dites-moi pourquoi
Vous n'avez retenu que vos leçons
De mathématiques et votre alphabet
Le poids du corps vous affolent mais
Différent quand cela concerne le tour
De Poitrine, attention sans en oublier
La lettre associée; l'idéal c'est comme
Céder aux avances de la gente masculine
Si nous en faisions tout autant, j'imagine
A l'avance la scène avec un mètre couturière
La longueur la circonférence de votre cerveau
Oh pardon j'ai visé un peu trop haut, quoi que
Nous sommes comme des chocolats fourrés
Le meilleur est à l'intérieur, belle présentation
Et pour cela il faut mettre le prix, pour allécher
Vos babines, alors ne trouvez pas à re dire, si
Pour vous plaire cela vous coûte cher, naturelles
certaines le reste tout comme moi, pour me plaire
Aime mon âme et mon coeur, au septième ciel
Je t'emènerais tu en oublieras tes rhumatismes
COPYRIGTH @ CHRYS CK
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique